Tampa : mais pourquoi ?!

Tampa : mais pourquoi ?!

Petit roadtrip au Yucatán, Jour 3 – Chichen Itza, cenotes et pyramide de Coba (4/6)

 

Chichén Itza nous voilà !!!

 

Nous arrivons sur le site de très bonne heure, dès l’ouverture. Le prix à payer pour éviter la foule.

Le site ouvre à 8h, nous étions là vers 8h30...

Cela nous a permis d’éviter les bus remplis de touristes qui débarquent de la terre entière. Mais il y avait déjà du monde !

On avait prévu le coup toutefois et dormi dans un hôtel juste à côté, à 10 minutes à peine en voiture. Ah ben on est organisé ou on n’l’est pas hein !!

 

Impossible de n’avoir jamais entendu le nom de cette cité maya enfouie dans la jungle. Chichen Itza fait partie de ces « Merveilles du monde » à visiter une fois dans sa vie.

Le site archéologique maya le plus connu, le mieux restauré du Yucatan et le plus célèbre au monde. Rien que ça.

Et bien voilà pour les présentations.

 

 

 

Alors déjà pour votre information, la présence d’une cité maya à cet endroit est due à la présence de ce qu’on appelle les « cenotes », des espèces de puits naturels gorgés d’eau, éparpillés un peu partout dans la péninsule du Yucatan (et dont je vous reparle plus tard car on en a aussi visité). Dans cette région aride, ces cénotes représentaient un élément vital pour les Mayas. C'est de là que vient le nom du site : chi, ça veut dire « bouche » et chen, « puits » et donc de la présence de l’eau.

Allez yallah c’était la seconde culturelle du jour !!

 

 

 

La grandeur du site m’a impressionnée, malgré les touristes que je n’ai pas trouvé siiiii nombreux finalement.

Peut-être parce que nous étions là tôt, je ne sais pas. Ou que nous l’avons visité de manière organisée. Je pense que, comme pour tous ces sites ultra touristiques, le moment choisi pour les visiter compte pour beaucoup !!

 

Bon par contre, la taille de la pyramide, pas tant que ça. 30 mètres de haut « seulement ». Pas si haute que ça. Pas de quoi en faire tout un foin lol.

Mais c’est fou parce que tout était prévu et calculé quoi, c’est dingue. 55 mètres de large sur 55 mètres de long (ah ben ils ont fait ça comme il faut). Les Mayas étaient drôlement calés en mathématiques et en géométrie, et tout, absolument tout, a été prévu !

Chichen Itza représente ainsi ce que les Mayas savaient faire de mieux en termes d’architecture.

 

 

 

 

Bon, alors, nous avons pris un guide à l’entrée du site, hautement recommandé pour visiter Chichen et mieux comprendre son histoire. Et on ne l’a pas regretté !!!

On a eu un super guide Mayan qui parlait hyper bien français et nous n’étions qu’avec un petit groupe. 8 personnes. Idéal.

Je ne connaissais pas grand-chose à la culture maya avant de venir ici je dois dire, mais en 1h30 de visite guidée, j’ai appris plein de choses et c’était vraiment super intéressant.

 

La visite guidée permet vraiment de donner une bonne introduction, d’avoir une meilleure idée de ce qui se cache derrière le site, avant de poursuivre de son côté les endroits où les guides ne vont pas en général.

 

Et elle permet encore plus d’apprécier à quel point les mayas étaient de grands architectes et astronomes, en plus d’être balèze en géométrie, et qui accordaient une place fondamentale aux cycles de la nature. Tout est symbolique.

 

Un peu des oufs aussi sur certains bords si je peux me permettre. Ah je peux pas ? Bon ok je retire. Mais ils étaient quand même un peu fous. J’ai pas tout retenu malheureusement de tout ce que nous a expliqué notre guide, mais c’était vraiment vraiment intéressant.

 

A la fois hyper intelligents, ingénieux, pragmatiques, rationnels et comprenant at analysant des tas de choses sur les astres grâce à leurs constructions de pyramides et de temples, et en même temps, avec des croyances particulières, effectuant des sacrifices humains par exemple pour apaiser les dieux. Un mix assez fascinant.

 

 

 

La pyramide centrale, qui a été construite en 1050, en l’honneur du Kukulcan (le Dieu serpent à plumes), représente le calendrier maya en fait.

Les Mayas en ont fait un centre religieux et sacré parmi les plus importants du Mexique.

 

La pyramide a 4 faces. Bon jusque-là, ça fait sens. Sur chaque face, il y a 9 plateaux.

Il y a aussi 4 escaliers, chacun avec 91 marches, ce qui nous fait 364 marches en tout. Mais il y a aussi une plate-forme tout en haut permettant d’accéder au temple, soit 365 marches en tout, qui représentent le nombre de jours du calendrier solaire.

 

Par ailleurs, toute la construction joue sur la symétrie et l’alignement avec le soleil. Ainsi, sur cette même pyramide, deux fois par an, au moment des équinoxes de printemps et d'automne (21 mars et 22 septembre), le soleil projette l'ombre des coins de la pyramide sur le grand escalier, formant le corps d'un serpent qui rejoint la tête sculptée au bas de l'escalier. C’est le dieu Kukulkán qui descend sur terre smile. Hmm. Bon ça c’est un autre délire où je n’ai pas tout suivi. Mais soit.

 

 

 

Le site est vraiment vaste et je pense que nous y avons bien passé 3 ou 4 heures.

 

Nous avons donc évidemment commencé par la pyramide au centre. La pyramide El Castillo. Qu’on appelle aussi la pyramide de Kukulcan. La fameuse pyramide quoi !! Que je vous ai mise sous tous les angles là !

 

On ne peut plus monter dessus, et c’est tant mieux car ça permet de pouvoir la photographier sans touriste.

 

Il était possible auparavant d’escalader la plupart des pyramides mais ceci a été petit à petit interdit pour préserver les sites et pour éviter les accidents. La seule pyramide encore « escaladable » est la pyramide de Coba que nous avons escaladée dans la soirée mais qui sera aussi bientôt fermée au public. Trop glissant, trop d’accidents mais je vous en reparle un peu plus tard ci-dessous.

 

 

Ensuite, on a fait un tour avec notre guide du côté du terrain de jeu de balle. Bon apparemment c’était plus un rite sacré qu’un jeu d’après ce qu’il nous a expliqué. Lors des grandes fêtes, 2 équipes s’affrontaient avec une balle en caoutchouc … et à la fin du jeu, le chef de l’équipe perdante était décapité par le gagnant de l’équipe adverse. Donc bon, super le jeu quoi !! On peut le dire les Mayas savaient « s’amuser », eux.

 

 

 

 

Une fois seules, on a marché pendant environ 15 minutes vers la Sacbé, l’ancienne route maya qui mène au vieux cenote sacré du site (je n’sais toujours pas si on dit un ou une cenote ? Bon je crois qu’on dit « un » donc je vais rester sur ça).

 

Ce n’est pas le seul du site, puisque comme je le disais précédemment le site entier a été construit sur plusieurs cenotes que les Mayas utilisaient, entre autres, pour effectuer leurs rituels, mais celui-ci est assez impressionnant. Pas de photo intéressante cependant reflétant l'atmosphère des lieux.

 

Lors des fouilles archéologiques, il a été vidé et ils y ont retrouvé des milliers d’os – hmmm tu m’étonnes, fallait bien qu’ils les mettent quelque part les perdants du jeu de belote ! – qu’ils ont retiré afin de les analyser.

 

 

Alors par contre, ce que je n’ai pas du tout aimé là, c’est que sur la route vers le cenote, il y avait de chaque côté de la route des dizaines de vendeurs ambulants, et très insistants, vendant un nombre hallucinant d’objets ne servant à rien. Impressionnant.

Je n’ai jamais vu autant de vendeurs sur un site touristique de cette envergure dont l’entrée est payante !! D’ailleurs, je me suis demandé s’ils devaient payer leur entrée tous les jours ? Bref, ennuyeux ça. En plus, ils ont appris à parler plusieurs langues étant donné les milliers de touristes venant du monde entier, et t’interpellent sans se gêner dans la langue que tu es en train de parler. Impossible de les éviter. Damn.

 

En plus, toute la camelote qu’ils nous vendent ici est deux fois plus chère qu’ailleurs. Pourquoi, non mais pourquoi. Bon, sur le reste du site, ils sont un peu plus dispersés et tu peux essayer de les éviter en fonction des chemins que tu choisis, mais relou quand même.

 

 

 

On est également passé faire un tour du côté du grand terrain de Jeu de Pelote (le plus grand du Mexique apparemment), du temple des Guerriers et ses Mille Colonnes (évidemment on a essayé de les compter, mais on a pas trouvé les 1000, certaines ont du être détruites, ou alors ils nous ont menti, mais je vois pas les Mayas se planter comme ça aussi bêtement. Grandes colonnes ceci dit, certaines tiennent encore debout, d’autres se sont écroulées), et aussi du côté de la zone autour de l’Observatoire (El Caracol). Celui-ci n’est pas un temple ou une pyramide, mais un lieu dédié à l’étude de l’astrologie. Il permettait notamment aux Mayas d’étudier le mouvement des étoiles.

 

 

 

 

 

Bon, en tous cas, d’après notre guide, le site entier reste encore aujourd’hui un mystère et une prouesse architecturale, étant donné la précision de sa construction.

La pyramide qui permet de prédire les équinoxes et le solstice d’été, les temples dans la ville qui ont été construits en fonction de la position des étoiles et des planètes, l’observatoire qui enregistre les cycles de la lune, qui, avec le positionnement du soleil, permettent d’indiquer les saisons de plantation et de récolte, le mystère de l’acoustique et des échos face à la pyramide et sur le terrain de jeu. Bref. Tout était prévu. Un mystère devant tant de connaissances et d’ingéniosité.

 

Intéressant d'un point de vue historique et culturel !

 

 

 

 

 

Après avoir passé la matinée sur le site de Chichen Itza, nous partons visiter des cenotes, les fameux (du mot maya dzonot, qui signifie « trou d’eau ». Prononcez « cé-no-té » en espagnol).

 

Les cenotes sont très célèbres au Yucatan. Il y en aurait plus de 10 000 de différentes tailles et types, mais tous ne se valent pas.

Cela fait partie des incontournables lorsque l’on visite le Yucatan.

 

Comme je le disais plus haut, ce sont des puits naturels, remplis d’eau douce. Ils peuvent avoir différents aspects. Certains sont ouverts à ras de terre à la manière d’un lac, d’autres sont fermés par une voute partielle ou totale, comme une grotte. Il en existe partout dans le monde, mais ils sont particulièrement nombreux et impressionnants dans cette région du Mexique.

 

Du fait de la composition calcaire de son sol, le Yucatán n’est traversé par aucune rivière. L’eau de pluie se retrouve immédiatement absorbée par la roche. La région ne manque donc pas d’eau, mais celle-ci se trouve sous terre. Les cenotes sont donc les seuls points d’accès vers ces sources d’eau potable, et c’est grâce à eux que les mayas ont pu s’installer durablement sur la péninsule. Leur aspect vital n’a fait que renforcer leur caractère sacré.

 

Les mayas considéraient donc les cenotes comme des endroits sacrés, aujourd’hui, ce sont des lieux touristiques protégés qui font partie du patrimoine mexicain.

 

 

Ce sont avant tout de beaux espaces naturels, qui possèdent la plupart du temps une eau cristalline et une faune aquatique au top : plein de poissons, personne pour les attraper, une vie tranquille sans emmerdement, ils prolifèrent donc en toute tranquillité.

 

Les cenotes sont aussi des endroits un peu insolites : les cenotes « caverne » sont plus impressionnants, avec une voûte qui peut très facilement atteindre les 20m de haut. Certaines parois sont ornées de stalactites. L’atmosphère est souvent un peu particulière, on ressent parfois un peu la dimension sacrée des lieux sans même avoir besoin de la connaître. C’est hyper calme et silencieux.

 

Il est permis de nager dans pratiquement tous les cenotes. Mais l’eau n’y est pas chaude chaude. Bon après comme il fait 40 degrés à l’extérieur, ça permet aussi de s’y rafraîchir !

 

 

 

 

Cenote Samula - Difficile de reproduire en photo

Cenote Samula - Difficile de reproduire en photo

 

Les cenotes sont répartis sur tout le Yucatan, et en particulier dans la région dans laquelle nous nous trouvons maintenant.

 

Nous choisissons un peu par hasard d’aller voir de plus près les cenotes X-Keken et Samula, qui se trouvent au même endroit (à 300 mètres l’une de l’autre).

 

Ces 2 cenotes ont la particularité d’être quasiment enterrés. Seul un puits de lumière ouvert par un trou dans le plafond laisse pénétrer la lumière naturelle. Concept intéressant.

 

Nous commençons par Samula.

 

Elise tente la baignade, moi je regarde d’en haut. L’eau n’est pas chaude (24 degrés en moyenne), il n’y a pas de courant, pas de mouvement, c’est très propre, la couleur de l’eau est magnifique, c’est très tranquille.

Ce petit moment de quiétude a toutefois un prix. Il faut d’abord affronter des tas de gens qui passent leur vie à vous vendre quelque chose. Honnêtement, c’est le truc le plus énervant de ces endroits ultra touristiques. Moi j’aime qu’on me foute la paix. LA PAIX.

 

Mais vraiment beau.

 

 

 

 

 

 

Puis nous nous dirigeons vers X-Keken.

 

C’est plutôt bien aménagé, on y pénètre par un escalier taillé dans la pierre d’une trentaine de marches, qui s’engouffre dans une espèce de grotte. Faut faire gaffe à la glissade incontrôlée ! Ouais c’est ça, regarde devant toi plutôt !

 

A l’intérieur, le calme, il n’y a pas trop de monde, et plein de stalactites. Oula. Plein de stalactites, qui s’étendent de la voûte jusqu’au niveau de l’eau. Doit y avoir des chauves-souris ici, c’est pas possible. C’est moins charmant ça du coup, mais je n’en ai pas vu…

 

X-Keken est un cenote de type « caverne » avec une voute presque fermée. Seule une petite ouverture qui doit faire à peu près 2 ou 3 mètres de diamètre permet d’entrevoir le ciel et de laisser passer un peu de lumière naturelle.

 

 

Pour la petite histoire, et parce que vous adorez mes anecdotes qui ne servent à rien, X-Keken signifie « cochon » en langage maya. Apparemment le cenote a été nommé ainsi parce que découvert par hasard par un paysan qui avait égaré son cochon. Ce dernier s’y était introduit par un petit trou pour aller y boire un coup. Comme quoi, c’est fou la vie !

 

Voilà. Le cenote Xkekén est donc « le cenote du cochon ». Super glamour vous en conviendrez. C’est toutefois l’un des plus beaux cenotes de la région. Bon goût le cochon ;)). Encore une fois, les photos ne lui rendent pas justice je trouve.

 

 

 

 

 

 

 

Après avoir bien profité des cenotes, nous avons pour idée de finir notre journée en assistant au coucher du soleil du côté de la pyramide maya la plus haute du Yucatán, Coba, une des rares pyramides que l’on peut encore escalader.

 

Coba se trouve à environ 70 km d’Akumal, notre point de chute du jour, sur la côte Est du Mexique.

La cité de Coba est une ancienne cité maya de grande envergure, située en plein cœur de la forêt tropicale, et la grande rivale de Chichen Itza selon la légende.

 

Vers 17h, nous sommes sur place. Nous payons le ticket du soir 4 fois le prix normal de la journée (ça reste un ticket à 13 dollars restons calmes), et nous partons à pied rejoindre la pyramide située à 2km environ au cœur de la jungle.

 

Le site est très étendu, et sa popularité encore raisonnable, ce qui nous permet de profiter pleinement sans être trop dérangé ! Surtout durant cette période d’« après fermeture » du site. Nous avons vraiment l’impression d’être en plein cœur de la jungle et surtout nous ne croisons personne. Fabuleux.

 

Au détour d’un chemin, on tombe parfois sur des stèles gravées, seule ou au milieu de ruines. On y trouve aussi un terrain de jeu de balle. Une autre structure en très bon état (parce que récemment restaurée) se trouve à la croisée des chemins.

Selon les archéologues, cette structure n’aurait pas d’autre fonction que de marquer le carrefour, l’intérieur n’étant pas accessible. Chelou, mais bon.

 

 

 

 

Nous voilà à présent devant la pyramide du site.

Nohoch Mul.

Haute de 44 mètres, la pyramide illustre bien l’intégration de l’architecture maya dans le monde végétal encore une fois. Tout était question d’équilibre pour les mayas. Construction oui, mais nature préservée, oui aussi.

Une fois au sommet, ils pouvaient surplomber la canopée… et surveiller les cités voisines.

 

Il y a là quelques personnes mais le site est quasiment désert, c’est génial ! Un régal absolu. Je parviens même à photographier la pyramide avec quasiment personne dessus, c’est pour dire !!

 

 

 

 

 

Après l’avoir observée un moment d’en bas, nous entamons l’escalade de la pyramide.

La grimpette n’est pas si facile. Mais bon, tout se mérite dans la vie hein !!! Les marches lissées par le temps et le passage sont très glissantes.

Il ne faut pas avoir le vertige non plus. 40 mètres ça n’a l’air de rien mais c’est haut ! La pyramide est toutefois encore en très bon état.

Il y a une corde au milieu de la pyramide pour s’aider à monter (et à descendre…). Difficile de ne pas s’aider des mains. Et surtout ne pas penser à la descente !! Hein Elise, on verra ça plus tard ...;)))

 

 

 

 

Une fois arrivée au somment, splendeur. La vue sur la jungle est magnifique, du vert à perte de vue. Difficile de reproduire en photos la vue qu’on avait de là-haut. C’était l’heure de la Golden hour (l’heure qui précède le coucher du soleil) et la lumière était fabuleuse.

 

 

 

 

Alors que nous étions assises, prêtes pour le spectacle, un gardien du site est venu nous indiquer qu’il nous fallait redescendre ! Le site fermait à 19h et le coucher du soleil était à 18h50. Comme il fallait redescendre et retraverser la jungle pour sortir du site, il a commencé à nous faire descendre vers 18h40. C’est une blague ? Tout ça pour ça ? On paie le ticket spécial « coucher de soleil » et on nous fait redescendre juste avant ? Non je ne suis pas tout-à-fait d’accord ?

 

Plusieurs personnes étant perchées avec nous, et également prêtes pour le spectacle, tout le monde a commencé à négocier.

 

Autant vous dire que tout le monde a biiiiiien fait traîner. Et le temps de descente étant assez long (disons que certains ont été plus habiles que d’autres !), nous avons eu le temps de voir le soleil se coucher malgré tout.

 

 

 

Les marches étaient vraiment hautes et glissantes….

Chacun sa technique pour redescendre ! Il y a ceux qui descendent face à la pyramide et ceux qui descendent sur les fesses.

Dans les 2 cas, faut faire gaffe, parce que personne n’a envie de finir sur la personne d’en-dessous. Surtout la personne d’en-dessous !!

 

 

 

 

Après avoir retrouvé la terre ferme, nous avons retraversé tranquillement la forêt dans une ambiance un peu étrange mais sympathique.

 

Et avons pris la route pour Akumal.

 

La suite au prochain épisode.

 

La bise kiss

 



12/06/2020
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